Marketing in the movie industry. What is that about ?
All the actions implemented to ensure the global success of a film launch : PR, media buying, trailer placement, promotional operations, partnerships, web promotions, television studios with actors and directors, etc.
In this post, I am particularly interested in the operations and promotions including brands that appear on films or brands that work before and after the release of a film...
AT THE BEGINNING
GIVENCHY brought up to the big screen by Audrey Hepdurn, YSL by Catherine Deneuve, LEVI'S by James Dean with his 501, will follow later Marilyn Monroe, Marlon Brando introducing a new way to wear jeans with wide lapels ...
Some fashion brands put forward I against their will I became a symbol and spokesman of a whole generation on the same level as their muses that wore them.
Fidelity was a sstory of true love between actresses/actors with their beloved brands without any hidden trade agreement.
But that was too good to last ... within the capitalist world we're living in, right ?
1982 / BIRTH OF UNDERCOVER MARKETING
MINORITY REPORT is an excellent example of the kind : Tom Cruise, on the run driving a LEXUS in a near future (2054) filled with electronics; he attempts to clear himself of a crime he did not commit. The film is an excuse to a permanent parade of brands : from the USA TODAY that is filming interactively his hunt, to his BULGARI watch he's looking at when action is at it's climax, through the GUINNESS to quench his thirst, a suggestion to a long distant vacation spot to be paid with his AMEX, the invitation to discover the new GAP collection when he's barely passing the threshold of the shop, the videoconferences played on his NOKIA screen, etc.
HOW MUCH UNDERCOVER MARKETING COST TO BRANDS
1980, MARLBORO spends $ 42.000 for 22 investments in Richard Lester movie, SUPERMAN PART 2.
1995, BMW signed a 75 million dollar deal with MGM/UA so its cars appear in three JAMES BOND.
2001, the U.S. military sent eight Black Hawk helicopters in Morocco on the set of THE BLACK HAWK DOWN by Ridley Scott, the cost of the transaction amounts 3 million dollars.
RETURN ON INVESTMENT
In the 50's, sales of ACE COMB combs exploded after James Dean used one in REBEL WITHOUT A CAUSE.
BMW sales jumped up to $ 240 million after appearing in GOLDEN EYE. The first year of production of Z3 has been fully sold OUT even before its arrival in showrooms.
RAY BAN had its WAYFARER sales jumped up to 300% after MEN IN BLACK, and the price increased up to 70%.
Awareness of the RENAULT SAFRANE has jumped 74% after carrying Jacquouille in THE VISITOR by Stephen Chatilliez. Tourism in the Gers increased by 30% as the movie was taking place there.
Sales of RED STRIPE had increased by over 50% in the United States, and a few weeks later, the company shareholders sold the majority of the capital for an amount of 62 million dollars to Guinnesss Brewing Worldwide, thanks to Tom Cruise who drank a RED STRIPE in THE FIRM.
LATE 90'S / LIMITED EDITIONS & COLLECTIBLES
The new vein that benefits both movies and brands : short series of products in limited editions inspired by the film universe and the brand know how. The most frequently collaborations are with fashion, cosmetics, luxury industries, etc. A sort of sequel to the film promotional products of our childhood like action figures/miniatures !
A original marketing support that aims primarily to fuel the buzz before a film release and highly publicized by the media.
The advantages ? Multiply communication and retail networks;
Increase visibility;
Stand out;
Capture the attention of consumers who constantly flips;
Extend the life of the film;
Extend the movie experience with collectors; Have a piece of the film/hero @home.
OMEGA JAMES BOND and with limited editions OCEAN SEAMASTER 600 (5.007 units)
KILL BILL and ASICS Limited Edition (3.400 pairs)
And all this "bla bla" for me to reach the next largest cash machine of 2010: ALICE IN WONDERLAND. If you haven't noticed Alice surrounding you lately then you must be living somewhere else in this galaxy.
Brands collaborations with ALICE : Bloomingdales , Tom Binns , Stella McCartney , Paul & Joe , O.P.I., Urban Decay , Sephora , Printemps Haussmann Department Stores, Ladurée...
Le MARKETING DU CINÉMA. Qu'est ce que c'est ?
Ce sont toutes les actions mises en œuvre pour assurer le succès planétaire d'un film : relations presse, achat d'espace, mise en place du film-annonce, opérations de promotion, organisation des partenariats, maniement du web, plateaux de télévision avec acteurs et réalisateurs, etc.
Pour ce billet, je me suis tout particulièrement intéressée aux opérations de promotions et notamment aux marques qui s'affichent sur la pellicule où encore celles qui collaborent avant et après la sortie d'un film...
AU COMMENCEMENT
GIVENCHY porté à l’écran par Audrey Hepdurn, YSL par Catherine Deneuve, LEVI’S par James Dean avec son jean 501, suivront plus tard Marilyn Monroe ou encore Marlon Brando avec le port du jean à larges revers…
Des marques de mode mises en avant, malgré elles, et qui deviendront un symbole, le porte parole de toute une génération à l’image de leurs égéries du grand écran.
Une fidélité liée à une véritable histoire d’amour entre l’actrice/acteur et la marque, sans accord commercial dissimulé.
C’était trop beau pour durer…dans le monde capitaliste, huh ?
1982 / NAISSANCE DU PLACEMENT DE PRODUITS
MINORITY REPORT est un excellent exemple du genre : Tom Cruise, en cavale au volant d’une LEXUS dans un futur (2054) rempli d’électroniques, tente de se disculper d’un crime qu’il n’a pas encore commis. Le film est prétexte à un défilé permanent de marques, de sa traque filmée par USA TODAY, à sa montre BULGARI qu’il consulter à chaque climax de l’action, en passant pour toutes les autres marque qui lui propose tour à tour une GUINESS pour étancher sa soif, des vacances vers une destination lointaine à payer avec son AMEX, de découvrir la nouvelle collection GAP à peine passer le seuil du shop, ou bien encore de passer ses vidéoconférences sur écran NOKIA, etc.
COMBIEN COUTE LE PLACEMENT DE PRODUITS POUR LES MARQUES
1980, Marlboro dépense 42 000 dollars pour obtenir 22 placements dans Superman II de Richard Lester.
1995, BMW signe un contrat de 75 millions de dollars avec les studios MGM/UA pour que ses voitures apparaissent dans trois épisodes de James Bond.
2001, l'armée américaine fait venir huit hélicoptères Black Hawk au Maroc sur le tournage de La Chute du faucon noir de Ridley Scott, le coût de l'opération s'élève à 3 millions de dollars.
RETOUR SUR INVESTISSEMENT
Dans les années 50, la vente des peignes ACE COMB explosa après que James Dean en eut glissé un dans ses cheveux dans Rebel Without a Cause.
Les ventes de BMW ont fait un bond de 240 millions de dollars à la suite de leur apparition dans GOLDEN EYE. La première année de production des Z3 a été entièrement vendue avant même son arrivée chez les concessionnaires.
Ray Ban a vu les ventes de ses WAYFARER bondir de 300 % après leur passage dans MEN IN BLACK, et le prix de vente monter de 70 %.
La notoriété de la Renault Safrane a grimpé de 74 % après avoir transporté Jacquouille dans LES VISITEURS. Le tourisme dans le Gers a progressé avec bonheur de 30 % grâce au film d'Etienne Chatilliez.
Les ventes de Red Stripe avaient augmenté de plus de 50 % aux Etats-Unis, et quelques semaines plus tard, les actionnaires de la compagnie vendirent la majorité de leur capital pour 62 millions de dollars à Guinnesss Brewing Worldwide, grâce à Tom Cruise qui boit une RED STRIPE dans LA FIRME.
FIN 90 / ÉDITIONS LIMITEES & COLLECTORS
Le nouveau filon qui profite aux films et aux marques : des séries de produits en éditions limitées inspirées des univers et des savoir faire du film et de la marque. Les collaborations les plus féquentes sont avec les industries de la mode, des cosmétiques, de l’horlogerie, etc. Une sorte de suite aux produits dérivés des films de notre enfance : les figurines/miniatures !
Une technique originale qui vise surtout à alimenter le buzz avant la sortie d’un film et fortement relayé par les médias.
Les avantage ?
Multiplier les réseaux de communication et de distribution;
Augmenter la visibilité ;
Se démarquer ;
Capter l’attention du consommateur qui zappe sans cesse ;
Prolonger la durée de vie du film ;
Prolonger l’expérience du film avec des collectors; Offrir un morceau du film/héro jusqu'à chez soi.
JAMES BOND et OMEGA avec les éditions limités SEAMASTER OCEAN 600 (5 007 unités)
KILL BILL et ASICS Limited Edition (3 400 paires)
Et tout ce "bla bla" pour en arriver à la plus grosse cash machine de cette année 2010 : ALICE AUX PAYS DES MERVEILLES. Et si vous n'avez pas encore remarquer ALICE autour de vous ces derniers temps, c'est que vous devez sans doute habiter un autre coin de cette galaxie.
Thank you for your interest and nice thought.
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