Wednesday, August 4, 2010

After Stine Goya, Alexander Wang, Karla Spetic, Acne, Givenchy, here is another collection that I would definitely put onto my wishlist for September : Carven. A brand that needs no introduction, founded in 1945 ... You know what... Let's make a quick reminder about Carmen Tommaso anyway ! ...
Après Stine Goya, Alexander Wang, Karla Spetic, Acne, Givenchy, voici une autre collection que je mettrai bien dans ma liste pour la rentrée : Carven. Une marque qu'on ne présente plus, crée en 1945... Et puis si... Un rapide rappel sur Carmen de Tommaso tout de même !...


"Because she found herself too short, Carmen de Tommaso decided to create her own clothes. In 1945, encouraged by her friends, she set up her couture house at the Rond Point des Champs-Elysees and called it Carven, evoking her name and the name of his aunt, Mrs. Boyriven.
According to the journalist Lucien Francis expression "the smallest of the great designers" requires a new vocabulary, giving citizenship to the quiet skirt, the carefree suit, the unpretentious dress. 
In many respects the one that made the green stripe and white sign of a unanimous recognition will be located on the side of realistic creations rather than a high fashion style, sometimes unsuited to everyday life".
"C'est parce qu'elle se trouvait trop petite que Carmen de Tommaso décida de créer ses propres vêtements. En 1945, encouragée par ses amies, elle installe sa maison de couture au Rond Point des Champs-Elysées qu'elle baptise Carven, évoquant ainsi son prénom et le nom de sa tante, Madame Boyriven.
Selon une expression du journaliste Lucien François " la plus petite des grands couturiers" impose alors un vocabulaire nouveau où la jupe sans histoire, le tailleur sans souci, la petite robe sans prétention auront droit de cité.
A plus d'un égard celle qui fit de la rayure verte et blanche un signe de reconnaissance unanime saura se situer du côté des créations réalistes plutôt que vers une couture de haut style, inadaptée parfois à la vie quotidienne". 


Beyond this effortless fashion, Carven, by playing with sympathy, wandering from town to town, will advantageously provide a much more democratic vision of the designer and break the mold of fashion dictator who is still in use, foreshadowing thereby portraits of generations of designers to come". 
Au delà de cette mode toute en simplicité, Carven, en jouant d'un passeport de sympathie qu'elle promène de ville en ville, participera avantageusement à offrir une vision infiniment plus démocratique du créateur et à casser le moule du couturier dictateur qui est encore en usage, préfigurant, par là, le portrait des générations de stylistes à venir". 


"Carven creates a fashion which reflects her personality, young, casual, but also close to the women she dresses. In 1945, the use of the famous green and white stripes and pink gingham bring a refreshing touch, also recalled in her fragrances : My Shoe (1946) and Vetiver (1957). Carven also draws her inspiration from real or imaginary exoticism. These arguments are Carven Fashion faithful guardian of precious recklessness to be protected and followed".
"Carven crée une mode à son image, jeune, désinvolte, mais aussi proche des femmes qu'elle habille. Dès 1945, l'utilisation de la célèbre rayure verte et blanche et le vichy rose apportent une note rafraîchissante, que l'on retrouve dans ses parfums : Ma Griffe (1946) et Vétiver (1957). Carven puise également son inspiration dans des exotismes réels ou imaginaires. Autant d'arguments qui font de la mode de Carven le gardien fidèle d'une insouciance précieuse qu'il convient de protéger et de regarder à nouveau".

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